Qui suis-je ?

Isabelle Sarne est la fondatrice de Tandam Mouvement

Isabelle Sarne

Ma recherche a commencé il y a bien longtemps, au Canada, où j’ai vécu 20 ans. J’y pratiquais la danse, contemporaine et africaine, mais il me manquait quelque chose : le mouvement intérieur et une compréhension profonde de qui je suis, comment je fonctionne.

Cette quête m’a amenée à découvrir le yoga, une pratique devenu un art de vivre qui a transformé ma vie. J’ai cherché  trouvé équilibre un entre le monde de la danse, créatif, fantaisiste, exigeant et celui du yoga que je pratique, doux, épuré, philosophique. 

De retour en France, je me suis formée à la sophrologie, une aventure dans le potentiel positif de l’être. J’accompagne les femmes enceintes, les personnes qui ont perdu confiance dans leurs capacités d’apprentissage (mémoire, problèmes de concentration liés au stress de l’apprentissage), la rééducation respiratoire et de nombreuses autres problématiques qui requièrent un retour à soi par le corps, la respiration, la visualisation et la psychologie positive.

Puis, comme je crois que sans l’assimilation de son histoire personnelle, et familiale, il est difficile d’avancer sereinement sur son chemin de vie, je me suis formée à la psychanalyse transgénérationnelle. Une lecture de l’inconscient familial, où la liberté de parole favorise la compréhension de d’héritages psychiques parasites, pour éclairer les non-dits, voire des secrets, afin s’alléger et construire son propre chemin. 

A travers ces outils j’ai trouvé une complétude.
L’expression infinie du mouvement intérieur et extérieur de l’humain, qu’il me plait de transmettre.

POURQUOI ?

TANDAM MOUVEMENTS

Le mot Tandam exprime la notion de temps, pour se poser en soi, prendre du recul et se régénérer. Le mot âme, touche à cet espace atemporel propre à chacun(e), dont il est important de prendre soin pour se respecter soi et les autres.

Tandam joue de la résonnance avec le mot tandem, induisant une relation qui s’ajuste constamment pour garder un équilibre et avancer.

Et enfin le mot mouvements, au pluriel, parce le mouvement c’est la vie, et le corps aime le mouvement. Un mouvement de vie qui peut se danser, être parlé et ressenti, par toutes les composantes de l’être.